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Archive for: Essais

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Jean-Louis Cornille
LÉMURES
Hantologie de la littérature malgache
en français

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16 octobre 2019

Face à l’œuvre de Raharimanana, devenue incontournable, on propose de remonter le temps afin de mieux comprendre la violence langagière qui s’y exhibe. Ne s’expliquerait-elle pas par la trop longue fascination teintée de respect que témoignèrent à l’égard de la langue française ses prédécesseurs, Rabearivelo et Rabemananjara ? Ce qui leur faisait défaut, c’est bien cette violence symbolique exercée à l’encontre d’une langue venue du dehors. Ce double rendez-vous raté permet de comprendre qu’un Raharimanana se voit dans la nécessité aujourd’hui de ressasser encore et toujours un même devoir de violence. Celui-ci, une fois accompli, permettra à un Johary Ravaloson de s’en « dégager », d’évoluer en roue libre. Si le parcours anthologique de l’œuvre de ces quatre auteurs est aussi une « hantologie », c’est que les fantômes de toutes sortes y abondent : ombres dans leurs poèmes, doubles dans leurs récits, spectres et suppôts dans leur correspondance comme dans leurs traductions, larves et lémures dans leurs cahiers. Or paradoxalement ces revenants ne sont pas seulement issus de la terre malgache, de ses contes ou de sa tradition orale : ce sont, de Baudelaire à Segalen, en passant par Rimbaud, ou Leconte de Lisle, traducteur d’Homère, tous des auteurs bien français. Francophones, encore un effort avant d’être révolutionnaires ?

Jean-Louis Cornille, professeur émérite à l’Université du Cap, enseigne la littérature française à l’université d’Antsiranana. Il est l’auteur d’ouvrages sur Baudelaire, Rimbaud, Alfred Jarry, Apollinaire, Sartre, Bataille, Céline, Chamoiseau, ainsi que sur la littérature indianocéanienne.

ISBN : 979-10-94898-67-3
125 x 210 mm
116 pages
15 €

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Bruno Blanckeman
PATRICK MODIANO
OU L’ÉCRITURE COMME UN NOCTURNE
Des noirceurs de l’Histoire
aux ténèbres du Temps

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16 octobre 2019

L’œuvre de Patrick Modiano est un théâtre d’ombres. Des personnages évanescents surgissent et se dissipent sur la scène du monde, héros éphémères de récits tantôt tracassés, tantôt fracassés par l’Histoire. 1945 année zéro. L’écriture parie sur la puissance suggestive de la langue, ses harmonies et ses non-dits pour faire sens. Cette œuvre de l’après-coup s’apparente à un nocturne, les romans modulant les multiples nuances d’un principe de mélancolie qui en dicte la partition. C’est qu’il n’est de juste écriture, pour le Prix Nobel de Littérature 2014, que dans l’exploration tourmentée des lendemains d’hier.

Bruno Blanckeman est professeur de littérature française des XXe et XXIe siècles à l’Université de la Sorbonne Nouvelle / Paris 3 et critique littéraire. Il est l’auteur d’essais et articles consacrés à la littérature française contemporaine, l’œuvre et la correspondance de Marguerite Yourcenar, la chanson.

ISBN : 979-10-94898-68-0
125 x 210 mm
160 pages
18 €

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Dominique Diard (dir.)
POLYPHONIES DIVERSELLES
DU TOUT MONDE
Tout-Monde ou « Multivers »
dans la fiction caribéenne contemporaine

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2 septembre 2019

La fiction caribéenne d’aujourd’hui entend prendre forme dans l’univers composite qui est le sien, issu des brisures de l’histoire autant que d’une rencontre des continents dont serait née l’infinie diversité qui tisse l’humain et le vivant tels que le caribéen les examine ; ce qui le conduit à remettre en question l’Universel pour ces néologismes forgés par lui : le Tout-Monde d’Édouard Glissant puis le Diversel et le Multivers revendiqués par Patrick Chamoiseau dans Les neuf consciences du Malfini. Cela induit une profonde mutation de la forme romanesque à laquelle le romancier, devenu « marqueur de paroles » ou « raconteur », semble désormais, dans le sillage de Chamoiseau, préférer les « organismes narratifs » écrits à la croisée de toutes les langues. Nous proposons une analyse de cette problématique suivie d’une « mise en jeu » des concepts qu’elle trace dans les contributions de Nicolas Pien, Joséphine Marie, Odile Gannier, Renée-Clémentine Lucien, Dominique Deblaine et Dominique Diard suivies d’un texte inédit de Dominique Deblaine, écrivaine de Guadeloupe.

Dominique Diard est maître de conférences en Littérature comparée de l’Université de Caen Normandie et membre du LASLAR (EA 4256). Elle est également membre associée du GRIAHAL et vice-présidente de HAH bis (adossé au GRIAHAL). Elle a travaillé sur les représentations de l’Amérique Latine dans la littérature française de la première moitié du xxème siècle. Elle se consacre aujourd’hui plus spécifiquement aux littératures de la Caraïbe francophones et hispanophones.

Ces études réunies par Dominique Diard s’inscrivent dans le cadre des recherches de l’axe « Territoires de la fiction » du LASLAR (EA 4256), Université de Caen Normandie.

ISBN : 979-10-94898-63-5
125 x 210 mm
174 pages
16 €

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Christophe Ippolito
VERS DES IDENTITÉS
CULTURELLES POSTFRANCOPHONES
Pour des littératures en langue française
libérées des errements de la Francophonie

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4 juin 2019

Ce livre examine certaines identités culturelles construites à partir de sté­réotypes ou de ce qu’on peut appeler la Francophonie politique. Il analyse divers types de mobilités qui, de la traduction à l’exil, de la métamorphose au transfert, caractérisent certaines identités francophones contemporaines, puis se demande comment des communautés culturelles francophones (et parmi elles des écrivaines ou des écrivains) peuvent, notamment en résistant au diktat néocolonial, avoir un impact positif en littérature et au-delà. La postfran­cophonie, c’est d’abord une attitude critique vis-à-vis de la Francophonie, en particulier dans sa version idéologique officielle, parce qu’une telle critique est aujourd’hui nécessaire si l’on veut enfin dissiper la grande ombre coloniale. Cela revient donc aussi à inventer d’autres rapports entre les langues, les cultures, les nations. À écouter la parole de l’autre. De l’Afrique au Québec, de la France au Liban, on cherche ici ce qui peut rendre la postfrancophonie possible.

Christophe Ippolito, qui enseigne au Georgia Institute of Technology (Atlanta, États-Unis), travaille sur la littérature française et francophone après 1800. Il a publié des ouvrages sur Flaubert, la description, la résistance à la modernité, le Liban, les notions de vie et de trace, et le récit de soi.

ISBN : 979-10-94898-58-1
125 x 210 mm
278 pages
25 €

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Anabel Apap
ÉCRIRE L’INDICIBLE
La Tragédie du Rwanda
vue par le collectif
Écrire par devoir de mémoire

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6 février 2019

1998. Quatre ans après le génocide rwandais, dix artistes africains, les écrivains Véronique Tadjo, Koulsy Lamko, Nocky Djedanoum, Boubacar Boris Diop, Monique Ilboudo, Vénuste Kayimahé, Jean-Marie Vianney Rurangwa, Tierno Monénembo, Meja Mwangi, Abdourahman A. Waberi, le sculpteur Bruce Clark et le cinéaste Samba Félix N’Diaye, formant le collectif “Écrire par devoir de mémoire”, se rendent sur les lieux de la tragédie. Deux mois durant, ils visitent les sites du crime, dialoguent avec les survivants, questionnent les bourreaux. Leur but : transformer les souvenirs fragmentés du génocide en une mémoire collective, mettre en mots l’innommable, trouver une forme dépassant les limites entre l’écriture factuelle et l’écriture fictionnelle afin de saisir le génocide dans toute son horreur et sa dimension humaine. Comment dire l’indicible ? C’est à cette question que s’applique à répondre cet essai.

Spécialiste en littératures francophones et théories post-coloniales, Anabel Apap est docteur des Universités de Paris Sorbonne et de Malte. Ses recherches actuelles portent sur les questions migratoires dans la littérature et le cinéma méditerranéens et africains subsahariens.

ISBN : 979-10-94898-55-0

125 x 210 mm
180 pages
18 €

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Mathilde Poizat-Amar (dir.)
DANS LE SILLAGE
DE VICTOR SEGALEN
Héritages, présences, trajectoires

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6 février 2019

Un siècle sépare la mort de Victor Segalen, cet écrivain-voyageur breton qui fut poète, romancier, médecin militaire et archéologue, de la parution de cet ouvrage. Comment lire Segalen aujourd’hui, à la lumière des œuvres de White et de Glissant, à la lumière de la science-fiction, de la pensée de Deleuze et Guattari, de la pensée écocritique ? Que reste-t-il de son œuvre en 2019 ? Une dizaine de chercheurs se sont réunis à Canterbury (Angleterre) pour penser Segalen aujourd’hui, et pour penser, avec lui, le monde qui nous entoure. Dans le sillage de Segalen, les études contenues dans cet ouvrage retracent et dessinent les trajectoires d’une œuvre multiforme, opaque, et résolument actuelle.

Mathilde Poizat-Amar, qui a réuni ces études, est maître de conférences en littérature française à l’Université du Kent (Angleterre). Ses recherches portent sur la littérature de voyage française et francophone au XX e et XXI e siècle. Elle est l’auteure de L’Éclat du voyage : Blaise Cendrars, Victor Segalen, Albert Londres (Peter Lang, 2017).

ISBN : 979-10-94898-55-0

125 x 210 mm
164 pages
20 €

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Sylvie Chalaye
CORPS MARRON
Les poétiques de marronnage
des dramaturgies afro-contemporaines

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6 septembre 2018

En marge des dramaturgies contemporaines, sont nées des écritures dramatiques dont les auteurs afro-descendants, sans territorialité d’appartenance reconnue par la Nation, autre que la francophonie, l’Afrique, les Outre-mer ou leur couleur de peau, ont entrepris de faire du corps le théâtre du drame et de déconstruire cette territorialité fantasmée et ses frontières en produisant un « autre » théâtre.

Le corps où se joue le drame est un corps sorti de l’enfermement de la cale des idées reçues et des couleurs plaquées au front, un corps qui entreprend sa mue dans le regard de l’autre, un corps qui est sorti de l’enclos des prêts-à-porter identitaires. Le corps-champ-de-bataille de ces dramaturgies inédites est un corps marron, celui qui n’appartient pas au maître, le corps du rêve, corps sacrificiel et eucharistique, celui qui nous ramène à l’essence même de la cérémonie théâtrale.

Ce livre propose de découvrir cet « autre » théâtre et ouvre quelques entrées théoriques pour en appréhender les enjeux esthétiques, politiques et philosophiques.

Anthropologue des représentations coloniales et spécialiste des dramaturgies contemporaines d’Afrique et des diasporas, Sylvie Chalaye est professeur et directrice de recherche à la Sorbonne Nouvelle. Au sein de l’Institut de Recherche en Études Théâtrales qu’elle co-dirige, elle a créé le laboratoire « Scènes francophones et écritures de l’altérité » (SeFeA) dont le programme est consacré aux dramaturgies traversées par l’histoire coloniale et l’histoire des migrations.

ISBN : 979-10-94898-46-8

125 x 210 mm
132 pages
15 €

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Fanny Daubigny
PROUST AU NOIR
Los Angeles :
une fiction proustienne

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6 septembre 2018

Que reste-t-il d’À La Recherche du Temps Perdu un siècle après sa parution ? Un siècle après l’érosion des pluies acides de la critique ? Un précipité noir. Noir comme un roman noir. Dans La Recherche, le crime est symbolique. Les meurtres se font en série. Chronique de la mort annoncée d’un auteur, de la noblesse, d’une France féodale, monarchique, catholique et rurale, le roman de Proust propose une enquête et Marcel est son détective. Cet essai interroge La Recherche à travers une couleur : le noir. Une couleur élémentaire et complémentaire, qualité commune à deux éléments hétérogènes : la littérature et le cinéma. Un essai à double équation où le cinéma se voit au grand jour et la littérature se lit dans le noir. Un essai à la recherche d’une inconnue à variables multiples qui se dévoile presque nue, ici sur la faille, au bord du Pacifique, à Los Angeles.

Fanny Daubigny est auteur et traducteur. Elle a publié de nombreux articles sur Marcel Proust et est spécialiste des littératures françaises et francophones du XIXe et XXe siècle. Elle réside à Los Angeles, cité des anges et ville du crime.

ISBN : 979-10-94898-47-5

125 x 210 mm
96 pages
15 €

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Marina Salles
LA TOUR,
LES CHOSES,
LA GUERRE
Hélène Bessette, Georges Perec
J.M.G Le Clézio

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in Essais / by stéphane Rozencwajg
22 mai 2018

« La Littérature est la Parole d’un Temps », écrivait Hélène Bessette. Mettre en regard son roman, La Tour, l’un des premiers à prendre pour décor et pour sujet la société de consommation, avec Les Choses de Perec et La Guerre de Le Clézio permet de vérifier cette assertion. Chaque livre s’enrichit de la confrontation avec les deux autres et ces regards croisés font revivre la dernière décennie des Trente Glorieuses :  la poétique de la ville, la représentation du monde des choses, les variations d’une œuvre à l’autre sur la question du bonheur consumériste présentent ainsi la pièce des Golden Sixties en trois actes.

Les trois romanciers saisissent la réalité de l’époque dans une langue et une forme romanesque originales qui repensent et les conventions du réalisme et les apports du « Nouveau Roman ». Souligner le caractère pionnier de ces « fictions singulières », associer Hélène Bessette à ses illustres successeurs, c’est « rendre justice » à cette auteure injustement oubliée, et donner forme à son espoir d’être « reconnue trente ou cinquante ans après sa mort ».

Marina Salles est Docteure ès Lettres, membre du CRHIA à l’Université de La Rochelle, auteurede plusieurs essais sur l’œuvre de J.M.G. Le Clézio, dont Le Clézio, notre contemporain (PUR, 2006), Le Clézio, « peintre de la vie moderne » (L’Harmattan, 2007), et de nombreux articles. Elle dirige actuellement le Dictionnaire Le Clézio en ligne aux Éditions Passage(s).

ISBN : 979-10-94898-43-7

125 x 210 mm
278 pages
25 €

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Christophe Ippolito
RÉCITS DE VIE,
RÉCITS DE SOI
Cendrars, Djian, Houellebecq,
Racid O., Abdallah Taïa et alii

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3 avril 2018

Aujourd’hui, comment le récit de soi devient-il guide de vie ? Voilà l’une des principales interrogations qui traversent ce volume, qui privilégie la littérature contemporaine (Forest, Thúy, Taïa, Djian…) sans oublier les grands « passeurs du soi » du XXe siècle (Cendrars, Beckett, Cioran, Semprún…). Il en est d’autres : qu’est-ce qui dans le life writing (ou écriture de vie) transcende et dépasse la littérature, jusqu’à devenir signe constitutif d’un imaginaire collectif pour notre époque ? Comment écrire sur le trauma, point névralgique pour la genèse et l’élaboration des récits de soi, et faut-il traiter les récits sur la Shoah en modèles ? Comment le second Barthes redéfinit-il le récit de soi comme genre, et que faire des biographèmes chez Houellebecq ? Si l’on peut parler de dominante autobiographique ou autofictionnelle selon les récits, comment distinguer les stratégies d’écriture et de lecture correspondantes ? Comment le corps se dit-il, chez Alix Cléo Roubaud, Ernaux, Millet ou Rachid O. ? Quels sont les rapports du souci de soi et du récit de soi ? Et tout simplement, pourquoi et comment raconter sa vie ?

Directeur du programme de français au Georgia Institute of Technology (Atlanta, États-Unis), Christophe Ippolito travaille sur la littérature française et francophone après 1800. Il est l’auteur et l’éditeur d’ouvrages sur Flaubert, la description, la résistance à la modernité, le Liban, les notions de vie et de trace, et le récit de soi.

ISBN : 979-10-94898-42-0
125 x 190 mm
308 pages
25 €

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