Anaya, La Bâtarde, Zèbres… et “Projectiles” à l’honneur
Chères lectrices, chers lecteurs,
Nous sommes ravis, en cette fin d’année, de vous présenter Anaya, un superbe roman questionnant les racines et la filiation, signé Cécile Brochard, qui vous entraînera dans l’Amérique indienne. Un nouveau dépaysement pour ce onzième titre de “Projectiles”, notre collection dédiée aux fictions courtes, que vous pouvez vous procurer en pré-commande !
Ce billet est aussi l’occasion de vous inviter à découvrir, si ce n’est fait, nos autres titres de cette collection parus ces dernières semaines dans un contexte difficile, mais auxquels nombre de lectrices et de lecteurs ont déjà réservé un formidable accueil : La Bâtarde, de Melibea Trifonia Obono, auteure née en Guinée Équatoriale, premier roman à paraître en français dans une traduction de l’Espagnol d’Anne-Laure Bonvalot, féroce charge contre les traditions patriarcales et virulente défense de toutes les libertés ; Zèbres, d’Anne-Laure Bonvalot, recueil de nouvelles à l’écriture ciselée, dans lequel une enfant déambule, égrenant ses souvenirs minuscules et immenses, dans une grande ville africaine dont on ne connaît pas le nom, au large du Golfe de Guinée, faisant émerger tout une communauté humaine à la croisée de ses récits loufoques, mystérieux ou poétiques ; A l’encre de Chine, les somptueuses fantaisies asiatiques de David Ravet, plongée dans les légendes de l’Asie millénaire et voyages inspirés dans l’Asie d’aujourd’hui ; Le Secret des Saltimbanques, de Geoffroy Larcher, formidable roman nous entraînant dans le monde fabuleux du cirque, mais aussi dans les secrets de famille, rancunes et espérances des membres de tout un village, dans une langue alliant poésie et humour.
Les Fêtes de fin d’année approchant à grands pas, c’est l’occasion de découvrir ces titres ainsi que les autres titres de la collection : Vibrations Brasil, le recueil de nouvelles tout en rythme et couleurs concocté par Emilie Audigier ; l’irrésistible L’Homme qui ne faisait rien, de Mehis Heinsaar, traduit de l’Estonien par Antoine Chalvin ; les Lettres du Bhoutan et La Réunion du Conseil national de l’audiovisuel du 14 mars 1984 et son influence formatrice sur la sexualité de l’adolescent (tout un programme !) de l’inclassable Ragnar Helgi Olafsson, traduit de l’Islandais par Jean-Christophe Salaun ; Toutes les histoires que je connais, roman jubilatoire de Dagny Gioulami, traduit de l’allemand par Stefanie Lanni, ou encore Roméo et Juliette chez les nègres, recueil de nouvelles à l’humour grinçant que commit jadis votre serviteur…
Mille mercis à vous de pré-commander Anaya et / ou de commander l’un ou l’autre de ces titres, ou la collection complète (Faites-vous plaisir…) ! C’est grâce à vous, lectrices et lecteurs, que nous allons pouvoir continuer à partager nos coups de coeur, à promouvoir nos auteurs et à défendre cette littérature voyageuse, vagabonde, divertissante, militante, engagée en laquelle nous croyons. Ce billet ne serait pas complet cependant, si je ne remerciais tous les auteurs qui ont accepté de publier leurs textes sous notre banière en cette période, en attendant la réouverture permanente des librairies, le retour des lectures et signatures, ainsi que des salons non-virtuels… Mille mercis à eux aussi donc !
DL
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